Le Créateur

Pierre-Marie Bernard

Le Créateur

Son histoire

Entouré d’une mère qui adorait les bijoux et d’un grand-père horloger qui en vendait, Pierre-Marie Bernard a baigné dès son plus jeune âge dans l’univers de la parure. Adolescent il est séduit par l’effervescence de l’atelier, la multitude des outils, l’empirisme dans la conception du bijou… Il intègre l’école de la Chambre Syndicale de la Joaillerie en 1976, aujourd’hui la Haute-École de Joaillerie située rue du Louvre à Paris. Il en sort diplômé en 1979.

Pendant huit ans, Pierre-Marie Bernard travaille dans certains ateliers de la Place Vendôme. Il enrichit ainsi son savoir-faire et sa connaissance du métier et acquiert une grande maîtrise du geste.

Il décide de se consacrer au bijou sur-mesure pour une clientèle privée, tout en continuant une activité pour les Grandes Maisons de Joaillerie comme Boucheron, Hermès, Mouawad… Il ouvre donc son atelier le 1er décembre, jour de la Saint-Éloi 1987. En parallèle, conscient de l’importance de la transmission du savoir-faire, Pierre-Marie Bernard devient professeur à la Haute-École de Joaillerie.
Il s’investit dans la défense de l’artisanat d’art français. Il devient administrateur de Francéclat et préside la commission création/innovation de 2005 à 2018.

Durant sa carrière, Pierre-Marie Bernard a donné de nombreuses conférences sur le métier de joaillier et a également participé à l’élaboration de plusieurs ouvrages dans ce domaine.
Nommé Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques en 2022, cette haute distinction vient couronner et saluer sa carrière consacrée à la Joaillerie et à la défense de l’artisanat d’art français.

Pierre-Marie Bernard

Face à la création artistique et esthétique de la parure, mon attitude est simple : nous sommes les maillons d’une chaîne, nous avons reçu de nos aînés, nous enrichissons ce savoir, nous le transmettons aux plus jeunes. Dans ces moments d’élaboration, l’outil principal est de mon savoir-faire. Il y a celui que j’ai appris, celui que j’ai amélioré, il y a aussi cette main invisible, cette humeur, cette intuition qui me guide et me porte.

Pierre-Marie Bernard

Ses valeurs

Pierre-Marie Bernard est tout d’abord animé par son souci de l’autre : satisfaire la demande du client, former au mieux ses élèves, assurer un avenir professionnel aux artisans d’art français…
Mais il est aussi animé par son amour de l’objet bien fait, et plus encore par ce qu’il signifie. Il voit dans le bijou une matérialisation d’un lien immatériel. Il attache une grande importance à la qualité des objets qu’il fabrique tant par respect pour le client que par souci de pérennité : un bijou bien fait ne revient pas rapidement à l’atelier.

Leur vision de la joaillerie

Pierre-Marie Bernard et Astrid Le Bail voient la Joaillerie comme une chaîne humaine où chaque artisan, le lapidaire, le fondeur, le sertisseur, le polisseur… est un maillon. Il est nécessaire que chaque personne maitrise parfaitement son domaine pour que le bijou puisse advenir. La Joaillerie est une chaîne d’excellence.

L’historique de l’atelier

Mains à un établi de joaillier en train de fixer une goupille sur un bijou.

1987

Naissance d’un atelier de sous-traitance

Pierre-Marie Bernard crée son atelier le 1 décembre. Il sous-traite de prestigieuses maisons de la place Vendôme à Paris. Situé rue Hérold, cet atelier de haute joaillerie se distingue par son savoir-faire artisanal et sa capacité à répondre aux exigences les plus pointues de ses clients. À une époque où la Haute joaillerie est exclusivement faite à la main.

1999

1ère boutique

À la veille de l’an 2000, une nouvelle ère commence pour l’atelier Pierre-Marie Bernard. Décidant de ne plus se limiter à la sous-traitance, ses bijoux sont destinés aux particuliers. C’est ainsi qu’il inaugure sa boutique de joaillerie, établissant sa présence dans le prestigieux quartier du 1er arrondissement à côté des Tuileries, rue Saint-Roch.

Ce nouveau chapitre marque un tournant décisif dans l’évolution de l’atelier, qui met au service d’une clientèle diversifiée.

Mains à un établi de joaillier en train de fixer une goupille sur un bijou.

2018

L’atelier dans le quartier de la joaillerie

L’atelier Pierre-Marie Bernard déménage dans le quartier emblématique de la joaillerie à Paris. Installé désormais au 1 rue de Châteaudun, dans le 9ème arrondissement, l’atelier occupe une place de choix au cœur de l’univers de la haute joaillerie parisienne. Dans ces nouveaux locaux, l’atelier poursuit sa quête d’excellence en proposant un

service sur mesure et en accordant une attention particulière à chaque détail. Toujours fidèle à ses valeurs d’authenticité et de tradition, l’atelier continue de se distinguer par la qualité exceptionnelle de ses créations, tout en cultivant l’art du métier artisanal transmis de génération en génération.

L’atelier Pierre-Marie Bernard déménage dans le quartier emblématique de la joaillerie à Paris. Installé désormais au 1 rue de Châteaudun, dans le 9ème arrondissement, l’atelier occupe une place de choix au cœur de l’univers de la haute joaillerie parisienne. Dans ces nouveaux locaux, l’atelier poursuit sa quête d’excellence en proposant un service sur mesure et en accordant une attention particulière à chaque détail. Toujours fidèle à ses valeurs d’authenticité et de tradition, l’atelier continue de se distinguer par la qualité exceptionnelle de ses créations, tout en cultivant l’art du métier artisanal transmis de génération en génération.

2021

Astrid Le Bail

Astrid Le Bail rejoint l’équipe de l’atelier Pierre-Marie Bernard. Progressivement son rôle devient prépondérant.

Mains à un établi de joaillier en train de fixer une goupille sur un bijou.